Même si le statut d’esclave est juridiquement assimilé à celui d’une chose, d’un outil, cela n’empêche pas les plus évolués des Romains de leur témoignent une réelle affection. Cicéron, Sénèque, Pline, évoquent à tour de rôle la compassion que leur inspirent ceux qui sont, selon le mot de Sénèque « d’humbles amis » ( humiles amici) auxquels on peut conférer malgré tout des semblants de droits.
Confecerunt me infirmitates meorum, mortes etiam, et quidem juvenum. Solacia duo nequaquam paria tanto dolori, solacia (...)
Pline vante à son correspondant les charmes complémentaires de ses deux villas situées sur le lac de Côme.
Altera imposita saxis more Baiano lacum prospicit, altera aeque more Baiano lacum tangit. Itaque illam tragoediam, hanc appellare comoediam soleo, illam quod quasi cothurnis, hanc quod quasi socculis sustinetur. Sua utrique amoenitas, et utraque possidenti ipsā diversitate iucundior. Haec lacu propius, illa latius utitur ; haec unum sinum molli curvamine6 amplectitur, illa editissimo dorso (...)
Calpurnia est la seconde ou la troisième épouse de Pline ; cette orpheline a été élevée par son grand-père Calpurnius Fabatus, et par la fille de Fabatus, sa tante : Calpurnia Hispulla. C’est à elle que s’adresse cette lettre.
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"Summum est acumen, summa frugalitas ; amat me, quod castitatis indicium est. Accedit his studium litterarum, quod ex mei caritate concepit. Meos libellos habet lectitat (...)
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Dernière mise à jour : jeudi 4 mars 2021